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LA JUSTE LONGUEUR D’ONDE

VIVRE HEUREUX …

Chacun à sa propre définition du bonheur ; sa propre vision de l’habitat (refuge, bulle, cocon, havre de paix, logis, foyer…) Chacun imagine, conçoit sa vie, son cadre de vie selon différents paramètres : histoire, expériences personnelles, désirs, contexte, situation géographique, proximité, accessibilité aux soins, aux commerces, aux transports, liens familiaux, disponibilités financières, capacité d’emprunt, tendances, concepts etc… Les critères retenus divergent et sont majoritairement en lien au matériel, à notre état de santé. Aussi à notre affect.

Quand prenons nous un temps pour nous écouter vraiment ?

Certainement l’avez-vous observé, ressenti : au cœur de nombreuses interactions, qu’il s’agisse de notre vie quotidienne, d’un projet personnel ou professionnel, il est complexe d’être soi ; complexe d’exprimer pleinement qui l’on est ; complexe de trouver un juste endroit pour se positionner.

Définir de façon harmonieuse, l’ensemble des espaces destinés à nous abriter ; destinés au déploiement de notre VIVANCE semble relever du combat. Se faire entendre, communiquer sur la même longueur d’ondes, est souvent synonyme de luttes conscientes et/ou inconscientes : Elles peuvent être dirigées contre l’autre, l’État, Dieu, contre soi… Dans tous les cas, elles sommeillent, logent en « JE.» Et ça, nous n’en avons pas nécessairement conscience.

 

Malgré une bonne volonté, même en y mettant les formes, il arrive que nos tentatives d’entrer en lien, nos idées demeurent inaudibles. S’empilent alors, les « à quoi bon. » Las, épuisé(e)s, au fil du temps, nous nous enfermons dans le mutisme. Invisibles, tel un tableau épinglé au mur, devant lequel on passe et sur lequel on ne s’attarde plus, en nous, se déposent les poussières : quantité de charges (tristesse, frustration, désespoir, colère, dégoût, peurs…)

Réprimées, sous l’effet de pressions qui deviennent insoutenables, dans un élan de vivance, nos émotions se libèrent parfois de manière inappropriée. Sans le souhaiter, il arrive que l’on offense autrui ; que l’on se blesse soi-même : anticipation, hypervigilance, rage, mépris, agressivité, aversion, chagrin, ennuie, soumission, remords…, prennent le dessus. Jour après jour, une infinité de micros-charges s’installent, s’incrustent, jusqu’à finir par exploser ou imploser, possiblement violemment : compensations, destruction, anéantissement de soi, de son environnement, notre vernis se fend, craque.

Les espaces intérieurs et extérieurs se côtoient, se confrontent, se fécondent sans relâche. Ils soulignent les incohérences, pointent les aberrations, déconstruisent, (re)construisent… à la base dans une noble intention : oeuvrer au service d’un bien vivre ensemble.

Est-il réellement possible d’y parvenir ?… 

 

 

AVEC PRÉSENCE ET COEUR… 

Si nous considérons que nous sommes sur terre, non dans le but d’entretenir et maintenir des conflits ; de nous augmenter artificiellement ; de jouer aux apprentis sorciers… alors oui, bien vivre ensemble est possible. Prendre soin, anoblir humblement à travers « je », la grande œuvre : la Création ; en cela est notre mission. C’est en nous connectant au rythme de la respiration universelle ; dans ses contractions et ses expansions que naturellement nous sommes en mesure de donner naissance au juste nécessaire ; à « l’habitabilité » d’un foyer, d’un monde sain.

 

(S’)ÉCOUTER, (S‘)ENTENDRE, (SE) COMPRENDRE, ET…

C’est évident : exempt d’authenticité, de bienveillance, de liens, de respect de soi…, il est complexe de féconder une atmosphère respirable sous son toit ; sous celui du monde !

Chacun perçoit ceux/ce qui l’environnent selon ses propres croyances, son propre vécu.

Dans toutes interactions, de multiples sensations et émotions s’activent à l’intérieur comme à l’extérieur. L’écoute attentive du dehors comme du dedans, implique l’écoute prioritaire des différentes parts qui nous habitent. Leurs accorder une juste attention, c’est leurs offrir l’opportunité d’être exprimées ; d’être cré-actées. Les considérer, les reconnaître dans leur singularité, les honorer, nous conduit sereinement vers un noble but : nourrir sainement et de façon intemporelle, le commUN.

Le monde des apparences, des tentations est challengeant. Mais intuitivement et inconsciemment, nous savons parfaitement si notre posture est juste. L’unicité étant un espace vaste, il arrive que l’on s’égare. Actuellement et depuis un bon moment ça déborde. C’est parfait !… Les expériences, et tout ce quelles comprennent d’agréable et de désagréable sont utiles à l’amendement d’un ancrage solide.

Garder un juste contact dans un monde sans contact nécessite de renforcer notre attention ! Cela implique la capacité de prendre conscience de la vision toute personnelle que nous avons de la réalité de ceux/ce qui nous environnent et au-delà. Développer notre flexibilité sur une base saine et solide, est plus que jamais indispensable à l’élévation d’un véritable foyer.

EXERCICE PRATIQUE

RENFORCER SON ANCRAGE, SON ATTENTION

L’astuce pour demeurer en lien à ce qui se joue en vous, sans perdre contact avec l’extérieur, consiste à poser une main sur un support : votre cuisse, le plan de table, un objet proche…

Pour vous mettre sur la piste d’une relation saine, posez-vous les questions suivantes en exerçant une pression, un doigt après l’autre sur le support choisit :

Quelle est ma qualité d’écoute ?

La façon dont s’exprime mon interlocuteur ; la façon dont je m’exprime ; ce qu’il dit ; ce que je me raconte…

Quel est le contexte psychologique ?

Mon interlocuteur, est-il en recherche de performance ? Suis-je en recherche de performance ? Est-il en demande d’aide ? Est-il excessivement mal ; dans la dévalorisation de soi ? Suis-je à l’aise pour répondre à sa demande ?…

Quelles sont les répercussions de notre échange ?

Qu’est-ce qui se met en mouvement à l’intérieur de moi ? Comment ce qu’il exprime, comment le contexte, me touche ?… 

Quelle est la qualité de notre relation au-delà de la communication ?

Suis-je confortable ? Est-ce que j’ai le sentiment que mon interlocuteur est confortable avec moi ?…

Quelle est la qualité de ma présence maintenant ?

Est-ce que je suis dans ma tête ? Dans mes distractions ? Suis-je dans mes sensations ; ma « corporalité » ? … Dans des tentatives de compréhensions ou de réflexions ?… Dans l’interprétation des ressentis de mon interlocuteur ?…

VOUS ÊTES VOTRE PRIORITÉ !

L’automne est là. Tel un arbre, n’ayez crainte de laisser tomber ce qui doit l’être. Autorisez-vous à vivre et cré-ACTER avec légèreté.

Et si vous avez besoin d’y voir clair sous le tas de feuille, que les problématique s’empilent sous votre toit, que l’entente au sein de votre projet manque d’entente cordiale, je vous invite à me rejoindre en activant l’onglet contact.

C’est de la saine connexion des étincelles, que naissent de splendides oeuvres.

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Changements….

Hier est une expérience.
Demain, un mystère.
Aujourd’hui, un cadeau.

Votre liberté est de vous exprimer. L’unique risque est d’être entendu !

* En cas d'indisponibilités, je vous prie de décommander votre rendez-vous téléphonique via mail 24 H avant.